Ils assurent ressentir les effets de la crise sur leur vie personnelle
Deux Français sur trois (68%) déclarent subir actuellement les effets de la crise économique dans leur vie personnelle et dans celles de leurs proches, un chiffre stable par rapport aux études précédentes, selon un sondage Ifop à paraître dans Sud Ouest Dimanche.
Ce résultat est comparable à ceux observés lors des précédentes enquêtes (65% en février 2009, 68% en avril 2009 et 65% en septembre 2010), mais la proportion des personnes interrogées estimant que la crise les affecte "beaucoup" (30%) est en augmentation (21% en février 2009, 25% en avril 2009 et 20% en septembre 2010).
Selon ce sondage, réalisé les 3 et 4 novembre, en pleine crise de la dette grecque et de déroute des marchés financiers, 32% des Français s'estiment en revanche peu ou pas du tout affectés par la crise, dont 7% "pas du tout".
Les sympathisants des extrêmes mes plus touchés
Le perception de l'impact de la crise varie selon les catégories socioprofessionnelles, 78% des commerçants et 76% des employés déclarant subir ses effets, contre 52% des cadres supérieurs.
L'étude note également que "les sympathisants des partis les plus extrêmes" se sentent plus touchés par la crise que la moyenne des Français. 76% des proches de LO, du NPA et du Front de Gauche et 77% des proches du Front National ressentent ses effets, contre 68% des sympathisants du Parti Socialiste et 60% de ceux de l'UMP.
Il existe enfin des disparités selon l'âge des sondés, la perception de la crise étant plus forte chez les 35-64 ans (72%) que chez les moins de 35 ans (63%) ou les plus de 65 ans (61%).
Le sondage a été réalisé par téléphone auprès d'un échantillon de 1.016 personnes représentatif de la population française, selon la méthode des quotas.
—
Deux Français sur trois (68%) déclarent subir actuellement les effets de la crise économique dans leur vie personnelle et dans celles de leurs proches, un chiffre stable par rapport aux études précédentes, selon un sondage Ifop à paraître dans Sud Ouest Dimanche.
Ce résultat est comparable à ceux observés lors des précédentes enquêtes (65% en février 2009, 68% en avril 2009 et 65% en septembre 2010), mais la proportion des personnes interrogées estimant que la crise les affecte "beaucoup" (30%) est en augmentation (21% en février 2009, 25% en avril 2009 et 20% en septembre 2010).
Selon ce sondage, réalisé les 3 et 4 novembre, en pleine crise de la dette grecque et de déroute des marchés financiers, 32% des Français s'estiment en revanche peu ou pas du tout affectés par la crise, dont 7% "pas du tout".
Les sympathisants des extrêmes mes plus touchés
Le perception de l'impact de la crise varie selon les catégories socioprofessionnelles, 78% des commerçants et 76% des employés déclarant subir ses effets, contre 52% des cadres supérieurs.
L'étude note également que "les sympathisants des partis les plus extrêmes" se sentent plus touchés par la crise que la moyenne des Français. 76% des proches de LO, du NPA et du Front de Gauche et 77% des proches du Front National ressentent ses effets, contre 68% des sympathisants du Parti Socialiste et 60% de ceux de l'UMP.
Il existe enfin des disparités selon l'âge des sondés, la perception de la crise étant plus forte chez les 35-64 ans (72%) que chez les moins de 35 ans (63%) ou les plus de 65 ans (61%).
Le sondage a été réalisé par téléphone auprès d'un échantillon de 1.016 personnes représentatif de la population française, selon la méthode des quotas.
—
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire