L'athlète sud-africain Oscar Pistorius, lors des Jeux paralympiques de Pékin, le 16 septembre 2008 —C.Cortes/REUTERS
L'athlète handisport courra avec les valides...
«Blade runner» a réussi son pari. Fin août, l’athlète amputé des deux jambes courra le 400m des championnats du monde à Daegu, en Corée du Sud. L’athlète handisport sud-africain a obtenu son ticket en courant en 45’07 à Lignano, en Italie, mardi soir. Il réalise les minimas (45’25) et pulvérise du même coup son meilleur chrono (45’61)...
Depuis ses trois médailles d’or aux Jeux paralympiques de Pékin (100m, 200m, 400m), le pro des prothèses est autorisé à s’aligner en compétition avec les valides. Mais il n’a pas encore participé à un grand championnat dans cette catégorie. «J’ai dû prouver que mes prothèses ne me donnent pas un avantage sur la piste, expliquait-il, plein d’humilité, juste avant le meeting Areva au Stade de France il y a dix jours. Maintenant, je veux mettre tout ça derrière moi et donner le meilleur de moi-même.» Cette fois, face aux meilleurs athlètes de la planète.
— R.S.
«Blade runner» a réussi son pari. Fin août, l’athlète amputé des deux jambes courra le 400m des championnats du monde à Daegu, en Corée du Sud. L’athlète handisport sud-africain a obtenu son ticket en courant en 45’07 à Lignano, en Italie, mardi soir. Il réalise les minimas (45’25) et pulvérise du même coup son meilleur chrono (45’61)...
Depuis ses trois médailles d’or aux Jeux paralympiques de Pékin (100m, 200m, 400m), le pro des prothèses est autorisé à s’aligner en compétition avec les valides. Mais il n’a pas encore participé à un grand championnat dans cette catégorie. «J’ai dû prouver que mes prothèses ne me donnent pas un avantage sur la piste, expliquait-il, plein d’humilité, juste avant le meeting Areva au Stade de France il y a dix jours. Maintenant, je veux mettre tout ça derrière moi et donner le meilleur de moi-même.» Cette fois, face aux meilleurs athlètes de la planète.
— R.S.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire