Douze personnes ont été blessées à coup de pierres dans des affrontements qui ont commencé mardi soir à Gafsa, ville minière frondeuse du sud-ouest tunisien, a-t-on appris mercredi de source médicale.
"A la mi-journée, mercredi, douze personnes ont été soignées à l'hôpital régional de Gafsa, pour contusions et blessures par jets de pierre", a indiqué une source médicale de cet établissement...
Un bilan précédent faisait état de trois blessés.
Mercredi, "le centre ville était vide et les magasins fermés" a déclaré une habitante de Gafsa, où l'instauration d'un couvre-feu avait été un moment envisagée.
Les violences, qui avaient commencé mardi soir à la suite d'une rixe, ont repris mercredi matin entre deux clans rivaux qui se sont attaqués à coup de pierres, de gourdins et avec des armes blanches, a indiqué le ministère de l'Intérieur dans un communiqué, sans parler de blessés, ni de dégâts.
Le calme est revenu à la mi-journée, selon le porte-parole de l'Intérieur Mohamed Hichem Moueddeb.
La violence a commencé mardi soir après un incident survenu au cours d'un comité de quartier. Selon un témoin, une rixe pour des motifs futiles entre deux personnes a dégénéré en affrontements entre habitants du centre de Gafsa et d'une cité populaire, Hamila.
"Pour le moindre désaccord, une bagarre éclate, les gens font appel à leurs proches et ça se transforme en bataille rangée", a déclaré mercredi à l'AFP un responsable de l'UGTT (centrale syndicale) à Gafsa (350 km de Tunis).
Les forces de l'ordre ont dispersé les manifestants à coups de gaz lacrymogène, selon un habitant.
Selon un témoignage recueilli par l'AFP auprès d'un autre témoin à Gafsa, des blindés de l'armée ont été déployées mardi soir sur l'avenue centrale de Palestine, et les affrontements se sont poursuivis tard dans la nuit.
Des bouteilles incendiaires ont été lancées.
Des actes de mises à sac et de pillages ont été rapportés à l'AFP, les assaillants, parfois cagoulés et munis de couteaux ont forcé des commerces et des bureaux, dont le siège local du patronat, les locaux de l'agence tunisienne TAP et de sociétés privées.
Le ministère de l'Intérieur a indiqué dans son communiqué que des habitants se sont interposés pour empêcher une attaque des assaillants contre le district de la garde nationale.
"A la mi-journée, mercredi, douze personnes ont été soignées à l'hôpital régional de Gafsa, pour contusions et blessures par jets de pierre", a indiqué une source médicale de cet établissement...
Un bilan précédent faisait état de trois blessés.
Mercredi, "le centre ville était vide et les magasins fermés" a déclaré une habitante de Gafsa, où l'instauration d'un couvre-feu avait été un moment envisagée.
Les violences, qui avaient commencé mardi soir à la suite d'une rixe, ont repris mercredi matin entre deux clans rivaux qui se sont attaqués à coup de pierres, de gourdins et avec des armes blanches, a indiqué le ministère de l'Intérieur dans un communiqué, sans parler de blessés, ni de dégâts.
Le calme est revenu à la mi-journée, selon le porte-parole de l'Intérieur Mohamed Hichem Moueddeb.
La violence a commencé mardi soir après un incident survenu au cours d'un comité de quartier. Selon un témoin, une rixe pour des motifs futiles entre deux personnes a dégénéré en affrontements entre habitants du centre de Gafsa et d'une cité populaire, Hamila.
"Pour le moindre désaccord, une bagarre éclate, les gens font appel à leurs proches et ça se transforme en bataille rangée", a déclaré mercredi à l'AFP un responsable de l'UGTT (centrale syndicale) à Gafsa (350 km de Tunis).
Les forces de l'ordre ont dispersé les manifestants à coups de gaz lacrymogène, selon un habitant.
Selon un témoignage recueilli par l'AFP auprès d'un autre témoin à Gafsa, des blindés de l'armée ont été déployées mardi soir sur l'avenue centrale de Palestine, et les affrontements se sont poursuivis tard dans la nuit.
Des bouteilles incendiaires ont été lancées.
Des actes de mises à sac et de pillages ont été rapportés à l'AFP, les assaillants, parfois cagoulés et munis de couteaux ont forcé des commerces et des bureaux, dont le siège local du patronat, les locaux de l'agence tunisienne TAP et de sociétés privées.
Le ministère de l'Intérieur a indiqué dans son communiqué que des habitants se sont interposés pour empêcher une attaque des assaillants contre le district de la garde nationale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire