WESTERN - Le film de Gore Verbinski est un pur régal pour cinéphiles amoureux d'animation...
Gore Verbinski, réalisateur des trois Pirates des Caraïbes, se lance dans l'animation avec Rango. Les hauts faits d'un caméléon justicier auquel Johnny Depp donne sa voix et sa gestuelle lui permettent de célébrer le cinéma en général et le western en particulier. Il nous a parlé de ses influences pour ce régal brillamment réalisé.
«Pour une poignée de dollars»
L'ombre de Clint Eastwood plane sur Rango dont le héros s'inspire clairement. « Je me suis même permis un hommage plus direct qui est l'une des petites surprises du film. J'espère que Clint Eastwood n'en prendra pas ombrage », dit Verbinski...
«Il était une fois la révolution»
L'influence de Sergio Leone est évidente dans les cadrages et dans la musique composée par Hans Zimmer. « J'adore l'idée du héros malgré lui qui se trouve embrigadé dans une histoire plus grande que la sienne. C'est pour cela qu'Il était une fois la révolution est mon western favori. »
«Là-Haut» et «Wall-E»
Les productions Pixar ont ouvert la porte à un cinéma d'animation plus adulte dont Rango découle, en abordant des sujets plus sérieux comme la pénurie d'eau. « Sans le succès des projets Pixar, mon film n'existerait pas, car on croirait toujours que l'animation doit rester infantile. »
«Princesse Mononoké»
Gore Verbinski a pensé à Hayao Miyazaki, le papa de Mon voisin Totoro (l'un des films favoris de ses enfants), pour la qualité des paysages et pour la narration. « Les Japonais ne s'encombrent pas de logique. Ils se fabriquent la leur qui correspond davantage à celle d'un rêve qu'à la réalité. J'ai puisé dans cette liberté. »
«Las Vegas Parano»
Johnny Depp était un ami de l'écrivain et reporter « gonzo » Hunter Thompson, et il a joué dans le film de Terry Gilliam. « Faire apparaître Thompson était un petit clin d'œil à Johnny, mais c'est la seule référence qui n'est pas destinée à être comprise par les plus jeunes. J'espère qu'elle fera sourire leurs parents. »
— Caroline Vié
Gore Verbinski, réalisateur des trois Pirates des Caraïbes, se lance dans l'animation avec Rango. Les hauts faits d'un caméléon justicier auquel Johnny Depp donne sa voix et sa gestuelle lui permettent de célébrer le cinéma en général et le western en particulier. Il nous a parlé de ses influences pour ce régal brillamment réalisé.
«Pour une poignée de dollars»
L'ombre de Clint Eastwood plane sur Rango dont le héros s'inspire clairement. « Je me suis même permis un hommage plus direct qui est l'une des petites surprises du film. J'espère que Clint Eastwood n'en prendra pas ombrage », dit Verbinski...
«Il était une fois la révolution»
L'influence de Sergio Leone est évidente dans les cadrages et dans la musique composée par Hans Zimmer. « J'adore l'idée du héros malgré lui qui se trouve embrigadé dans une histoire plus grande que la sienne. C'est pour cela qu'Il était une fois la révolution est mon western favori. »
«Là-Haut» et «Wall-E»
Les productions Pixar ont ouvert la porte à un cinéma d'animation plus adulte dont Rango découle, en abordant des sujets plus sérieux comme la pénurie d'eau. « Sans le succès des projets Pixar, mon film n'existerait pas, car on croirait toujours que l'animation doit rester infantile. »
«Princesse Mononoké»
Gore Verbinski a pensé à Hayao Miyazaki, le papa de Mon voisin Totoro (l'un des films favoris de ses enfants), pour la qualité des paysages et pour la narration. « Les Japonais ne s'encombrent pas de logique. Ils se fabriquent la leur qui correspond davantage à celle d'un rêve qu'à la réalité. J'ai puisé dans cette liberté. »
«Las Vegas Parano»
Johnny Depp était un ami de l'écrivain et reporter « gonzo » Hunter Thompson, et il a joué dans le film de Terry Gilliam. « Faire apparaître Thompson était un petit clin d'œil à Johnny, mais c'est la seule référence qui n'est pas destinée à être comprise par les plus jeunes. J'espère qu'elle fera sourire leurs parents. »
— Caroline Vié
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