L’étude indique en effet que, même si «la fécondité des femmes nées en France métropolitaine s’oriente vers une stabilité du nombre moyen d’enfants» (environ deux), elle varie selon le diplôme: «Les femmes moins diplômées ont une fécondité plus élevée que les plus diplômées.» En effet, si le taux de fécondité s’élevait en 2008 à environ 2,5 enfants pour les non diplômées, il n’est que d’un peu moins de 1,8 pour les plus diplômées.
De plus, le fait de faire des études retarde l’entrée en parentalité: «L'âge moyen au premier enfant est de 25 ans pour les non-diplômées, alors qu'il est de 30 ans pour les diplômées du supérieur», souligne l’étude, qui note que «plus de 43% des enfants nés en 2008 ont une mère ayant fait des études supérieures contre 34% en 2000».
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