Les troubles ont également fait 94 blessés, a indiqué Friaa à la télévision publique.
Le précédent bilan gouvernemental annoncé le 11 janvier, avant le changement de pouvoir, était de 21 morts. Les troubles ont fait au moins 66 morts avait annoncé de son cô té la semaine dernière la présidente de la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH), Souhayr Belhassen.
La plupart des victimes ont perdu la vie lors de la féroce répression policière de la révolte populaire qui a débuté mi-décembre dans le centre-ouest déshérité du pays. La police a tiré à balles réelles à de nombreuses reprises sur des manifestants.
Le ministre de l'Intérieur a souligné que "plusieurs" membres des forces de sécurité figuraient parmi les victimes.
Mais il n'a pas précisé si ces derniers avaient été tués lors de heurts avec des manifestants, ou s'ils étaient tombés sous les balles des miliciens en armes loyaux à l'ancien homme fort du pays depuis sa fuite vendredi en Arabie Saoudite.
Les miliciens pro-Ben Ali se sont livrés à de nombreuses exactions ces derniers jours pour terroriser la population et plomber "la révolution du jasmin". Des affrontements armés les ont opposés dimanche aux forces loyalistes aux nouvelles autorités de transition dans le centre de Tunis et la zone du palais présidentiel de Carthage.
"Les choses se rétablissent peu à peu et on se dirige vers de meilleures conditions de sécurité", a assuré le ministre de l'Intérieur.
"Mais il faut rester vigilants car il y a encore des éléments dangereux qui veulent créer le vide", a-t-il ajouté.
Le précédent bilan gouvernemental annoncé le 11 janvier, avant le changement de pouvoir, était de 21 morts. Les troubles ont fait au moins 66 morts avait annoncé de son cô té la semaine dernière la présidente de la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH), Souhayr Belhassen.
La plupart des victimes ont perdu la vie lors de la féroce répression policière de la révolte populaire qui a débuté mi-décembre dans le centre-ouest déshérité du pays. La police a tiré à balles réelles à de nombreuses reprises sur des manifestants.
Le ministre de l'Intérieur a souligné que "plusieurs" membres des forces de sécurité figuraient parmi les victimes.
Mais il n'a pas précisé si ces derniers avaient été tués lors de heurts avec des manifestants, ou s'ils étaient tombés sous les balles des miliciens en armes loyaux à l'ancien homme fort du pays depuis sa fuite vendredi en Arabie Saoudite.
Les miliciens pro-Ben Ali se sont livrés à de nombreuses exactions ces derniers jours pour terroriser la population et plomber "la révolution du jasmin". Des affrontements armés les ont opposés dimanche aux forces loyalistes aux nouvelles autorités de transition dans le centre de Tunis et la zone du palais présidentiel de Carthage.
"Les choses se rétablissent peu à peu et on se dirige vers de meilleures conditions de sécurité", a assuré le ministre de l'Intérieur.
"Mais il faut rester vigilants car il y a encore des éléments dangereux qui veulent créer le vide", a-t-il ajouté.
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