- 250 hommes sont déployés sur le terrain ce samedi...
Les recherches pour retrouver Patricia Bouchon, la joggeuse portée disparue à Bouloc (Haute-Garonne), ont repris samedi et, en plus d'un dispositif de 250 hommes sur le terrain, les gendarmes comptaient sur les promeneurs du week-end pour apporter d'éventuels indices.
Au sixième jour de l'enquête, même si les espoirs de retrouver Patricia Bouchon vivante sont «infimes» selon le procureur de Toulouse, les recherches pourraient «encore durer trois ou quatre jours», selon un officier de gendarmerie.
«On a une personne qui est peut-être encore vivante ou morte, dans la région ou quelque part en France si elle a été emportée dans le coffre d'une voiture. On maintient le dispositif car on ne peut pas exclure de la retrouver près de Bouloc», indique l'officier.
La zone ratissée au peigne fin
Dans un rayon de 6 km autour de Bouloc, village situé à 20 km de Toulouse, les deux escadrons de gendarmes mobiles appelés en renfort ont inspecté champs, sous-bois, vignes et forêts, interrogé les villageois, tandis que tous les points d'eau (canaux, ruisseaux, lacs, puits ou cuves remplies d'eau) ont été sondés dans un périmètre plus large. Ils s'apprêtaient, samedi, à passer à nouveau dans des zones boisées particulièrement denses.
Dans cette enquête compliquée par l'absence d'éléments menant directement à un suspect, personne n'a encore été interpellé ou placé en garde à vue.
Les résultats des analyses de prélèvements attendus
L'acte criminel ne fait plus de doute, les abondantes traces de sang relevées sur un chemin qu'elle empruntait régulièrement sont celles de Patricia Bouchon, une analyse l'atteste. Sur ce chemin de terre, un noeud pour retenir ses cheveux et une boucle d'oreille ont aussi été découverts.
La section de recherche de Midi-Pyrénées et la compagnie de gendarmerie de Toulouse, chargés de l'enquête, attendaient ce week-end les résultats d'analyses de prélèvements de cheveux et d'un morceau de tissu.
Des moyens considérables ont été engagés par les gendarmes depuis lundi: deux hélicoptères, deux bateaux, des plongeurs et des chiens, en plus des hommes qui font des battues et des enquêteurs qui examinent toutes les pistes, pour l'instant en vain.
— © 2011 AFP
Au sixième jour de l'enquête, même si les espoirs de retrouver Patricia Bouchon vivante sont «infimes» selon le procureur de Toulouse, les recherches pourraient «encore durer trois ou quatre jours», selon un officier de gendarmerie.
«On a une personne qui est peut-être encore vivante ou morte, dans la région ou quelque part en France si elle a été emportée dans le coffre d'une voiture. On maintient le dispositif car on ne peut pas exclure de la retrouver près de Bouloc», indique l'officier.
La zone ratissée au peigne fin
Dans un rayon de 6 km autour de Bouloc, village situé à 20 km de Toulouse, les deux escadrons de gendarmes mobiles appelés en renfort ont inspecté champs, sous-bois, vignes et forêts, interrogé les villageois, tandis que tous les points d'eau (canaux, ruisseaux, lacs, puits ou cuves remplies d'eau) ont été sondés dans un périmètre plus large. Ils s'apprêtaient, samedi, à passer à nouveau dans des zones boisées particulièrement denses.
Dans cette enquête compliquée par l'absence d'éléments menant directement à un suspect, personne n'a encore été interpellé ou placé en garde à vue.
Les résultats des analyses de prélèvements attendus
L'acte criminel ne fait plus de doute, les abondantes traces de sang relevées sur un chemin qu'elle empruntait régulièrement sont celles de Patricia Bouchon, une analyse l'atteste. Sur ce chemin de terre, un noeud pour retenir ses cheveux et une boucle d'oreille ont aussi été découverts.
La section de recherche de Midi-Pyrénées et la compagnie de gendarmerie de Toulouse, chargés de l'enquête, attendaient ce week-end les résultats d'analyses de prélèvements de cheveux et d'un morceau de tissu.
Des moyens considérables ont été engagés par les gendarmes depuis lundi: deux hélicoptères, deux bateaux, des plongeurs et des chiens, en plus des hommes qui font des battues et des enquêteurs qui examinent toutes les pistes, pour l'instant en vain.
— © 2011 AFP
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