Avis aux hackers avides de notoriété: la police aussi regarde la télé.
Et les policiers français ne tapent pas tous avec deux doigts.
Un hacker français en a fait l’expérience tout récemment:
Dans un documentaire signé Complément d’Enquête intitulé “Internet, WikiLeaks, les dangers de la transparence” diffusé sur France 2 le 28 février dernier, le hacker présenté sous le pseudo de “Carl” se vante d’avoir piraté les réseaux de l’Armée française et du fournisseur de matériel de défense Thalès.
Carl effectue un certain nombre de démonstrations devant la caméra: après un defacing du site d’un régiment de l’armée de terre, le reportage montre le hacker en train de parcourir certains des milliers de documents internes dérobés à Thalès.
Thalès a logiquement déposé plainte. Les enquêteurs ont remonté sa trace et fini par l’arrêter chez lui le 7 avril. “Carl” est aujourd’hui en détention provisoire et risque bien de passer plusieurs années derrière les barreaux pour ses différents exploits, parmi lesquels des vols et revente de numéros de cartes de crédit assez éloignés de son discours de chevalier blanc désireux de créer un Wikileaks à la française.
Présenté initialement comme un Anonymous, le groupe s’est ensuite distancié de Carl, précisant que le but du groupe n’est pas de gagner de l’argent en commettant des cyber-crimes. [The Reg]
Et les policiers français ne tapent pas tous avec deux doigts.
Un hacker français en a fait l’expérience tout récemment:
Dans un documentaire signé Complément d’Enquête intitulé “Internet, WikiLeaks, les dangers de la transparence” diffusé sur France 2 le 28 février dernier, le hacker présenté sous le pseudo de “Carl” se vante d’avoir piraté les réseaux de l’Armée française et du fournisseur de matériel de défense Thalès.
Carl effectue un certain nombre de démonstrations devant la caméra: après un defacing du site d’un régiment de l’armée de terre, le reportage montre le hacker en train de parcourir certains des milliers de documents internes dérobés à Thalès.
Thalès a logiquement déposé plainte. Les enquêteurs ont remonté sa trace et fini par l’arrêter chez lui le 7 avril. “Carl” est aujourd’hui en détention provisoire et risque bien de passer plusieurs années derrière les barreaux pour ses différents exploits, parmi lesquels des vols et revente de numéros de cartes de crédit assez éloignés de son discours de chevalier blanc désireux de créer un Wikileaks à la française.
Présenté initialement comme un Anonymous, le groupe s’est ensuite distancié de Carl, précisant que le but du groupe n’est pas de gagner de l’argent en commettant des cyber-crimes. [The Reg]
— Gizmodo en partenariat avec 20minutes
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