Touche pas à mon pays
Quand la sérénité d'une cité semble déranger quelques esprits malsains pour oser s'y opposer sauvagement; l'on ne peut que s'indigner de l'acte !
Quand la joie innocente d'une personne, assise à siroter un thé en contemplant les fééries de la place magique semble déplaire à une autre personne rongée par la rancune insensée... l'on ne peut que ressentir l'amertume !...
Quand l'air paisible émanant des recoins de cette cité ocre, embaumant de senteurs de henné, de fleur d'oranger, de café et de bienvenue, semble chatouiller les envies noirâtres, à faire agir les mains criminelles... l'on ne peut que soupirer dégoût !
Quand l'amour de l'autre, quelles que soient ses allures et ses provenances, est payé de sang et de terreur... l'on ne peut que crier rage et fureur !
Quand l'être humain n'est plus que proie à des terreurs sombres... le transformant en machine insensée à vouloir exécuter les crimes satanés... l'on ne peut que prier !
Prier pour ces âmes perdues au gré de leur innocence... prier pour ces êtres trahis par le temps et les circonstances... prier pour ces noirceurs qui emplissent des cœurs aveuglés, qu'elles se découvrent, enfin, le sens de l'humanité..!
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