Sébastien Chabal a trouvé un bon moyen de faire la promotion de son autobiographie, Ma petite étoile, qui devrait sortir prochainement. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, le rugbyman du Racing Metro dit ses quatre vérités sur le rugby français et égratigne à peu près tout ce qui bouge. A commencer par les arbitres. «Je dis ce que je pense: les arbitres du Top 14 sont nuls, assène-t-il. Ils me rendent fous. Il n’y en a que deux ou trois qui sont pros. Et encore, j’aimerais savoir ce qu’ils font vraiment. Les arbitres de touche ont un boulot la semaine, et ils sont tout content d’être là le week-end. Ils n’aident pas l’arbitre central et quand ils interviennent, c’est catastrophique.»
Castres favorisé par l’arbitrage
Sans doute Sébastien Chabal fait-il référence à M. Berdos, arbitre de touche lors du quart de finale 2010 entre Clermont et le Racing Metro, qui avait expulsé temporairement un joueur francilien à la suite d’un mouvement d’humeur, loin des yeux de l’arbitre central. Et ce n’est pas fini. «Caveman» à Castres, dont l’ancien président, Pierre-Yves Revol est désormais à la tête de la Ligue (LNR) et qui serait avantagé par l’arbitrage.
«C’est une réalité, assène Chabal. Je cite un match de la saison dernière où tout le monde l’a vu. Les gonzes, ils ne se cachent même pas. C’est dommage pour notre sport. Avant, c’était pareil avec Biarritz (le club de Serge Blanco, ancien président de la LNR)… et c’est toujours un peu le cas. Il suffit de regarder les tirages au sort des poules de Coupe d’Europe : Biarritz n’a jamais des groupes très relevés. Ils ont de la chance, tant mieux pour eux.»
En dehors de tout ça, le N°8 du Racing avoue avoir «peur» de ne pas être retenu dans le groupe des 30 pour la coupe du monde. «Je n’ai jamais été certain d’être dans le wagon. Donc après l’Italie je me suis senti en vrai danger. Et aujourd’hui encore. Marc doit savoir à 95% quels joueurs il va emmener. Je me dis que je dois faire partie des 5% d’incertitudes. Les derniers matches de la saison pourraient peser dans la balance.»
— B.V.
Castres favorisé par l’arbitrage
Sans doute Sébastien Chabal fait-il référence à M. Berdos, arbitre de touche lors du quart de finale 2010 entre Clermont et le Racing Metro, qui avait expulsé temporairement un joueur francilien à la suite d’un mouvement d’humeur, loin des yeux de l’arbitre central. Et ce n’est pas fini. «Caveman» à Castres, dont l’ancien président, Pierre-Yves Revol est désormais à la tête de la Ligue (LNR) et qui serait avantagé par l’arbitrage.
«C’est une réalité, assène Chabal. Je cite un match de la saison dernière où tout le monde l’a vu. Les gonzes, ils ne se cachent même pas. C’est dommage pour notre sport. Avant, c’était pareil avec Biarritz (le club de Serge Blanco, ancien président de la LNR)… et c’est toujours un peu le cas. Il suffit de regarder les tirages au sort des poules de Coupe d’Europe : Biarritz n’a jamais des groupes très relevés. Ils ont de la chance, tant mieux pour eux.»
En dehors de tout ça, le N°8 du Racing avoue avoir «peur» de ne pas être retenu dans le groupe des 30 pour la coupe du monde. «Je n’ai jamais été certain d’être dans le wagon. Donc après l’Italie je me suis senti en vrai danger. Et aujourd’hui encore. Marc doit savoir à 95% quels joueurs il va emmener. Je me dis que je dois faire partie des 5% d’incertitudes. Les derniers matches de la saison pourraient peser dans la balance.»
— B.V.
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